|
|
|
|
|
Citation (2)
19/03/2006 10:41
Ben Harper : "Le message de paix doit être transmis à chaque génération. On ne mise pas assez sur la paix. Je ne sais pas comment l'humanité s'est retrouvée dans cette impasse, aujourd'hui la paix est prise bien moins au sérieux que la violence. La violence est devenue naturelle et la paix presque un mythe."
"Ne vaut-on pas mieux que cela? Doit-on céder à l'instinct violent de l'espèce humaine? On maîtrise l'atome, la fusion de l'atome, l'informatique... à quoi bon si on ne peut vivre en paix. Ce serait le plus grand progrès. Les savants ne m'épatent pas. Aller sur Mars pour tout foutre en l'air... Traiter Mars comme la Terre... Y a du boulot à faire ici avant d'aller claquer tout ce fric pour détruire une autre planète. Si les savants veulent m'épater, qu'ils se branchent sur la vibration de la paix pour la répandre. Je suis peut-être ridicule à parler de paix avec des gens qui sont si loin de cela... —"
Commentaire de Splouf (02/04/2006 16:39) :
Hey non tu n'es pas ridicule a parler de paix ! il est vrai ke la paix
n'est plus qu'un mythe de nos jour on ne parle plus ke de la
guerre comme solution, ou dintimidation... ca fai plaisir de voir des idées
comme celle ci circuler ! ;) merci ! yo bonne continuation cyrilou
|
Commentaire de Ashiko Nana (03/04/2006 21:07) :
Il a raison Cyrilou, p'tit filou, grand petit loup ;) lol bizz!
|
Commentaire de lec'ni (13/04/2006 17:52) :
suis pas entierement d'accord. De 1 dire que la paix est un mythe me
defrise...j'voudrai pas dire mais ici bas (France, mais aussi
europe...) y'a pas de guerre...Il y a certes des conflits dans le
monde, mais cela ne veut pas dire que la paix n'existe plus...et le
dire est un acte de négation stupide, na. Sinon beuh, la violence est, et
sera et elle n'est pas forcément mauvaise en soi. Mais j'ai pas
envie d'appronfondir pour pas changer. Dans l'idéal, la violence
ne devrait pas être. Mais le fait est qu'on en a besoin. Si le
dialogue ne passe pas, il n'y pas toujours le choix de faire
autrement.Et tout dépend alors du point de vue (celui qui défend, celui qui
est attaqué) enfin bref...méditez ^^
(je fais pas une apologie de la guerre non plus)
|
Commentaire de lec'ni cours se cacher (15/04/2006 10:36) :
J'ai pas mis de 2 =_='...bah ...enfin si tu veux mieux comprendre
ce que je racontais je peux te filer mon cours de philo sur
l'Histoire...^^
|
Commentaire de Ashiko Nana (15/04/2006 11:44) :
pdr c pas rave mélie on ne t'en vx pas ds le feu de l'action
t'oublie des tas de choses bizz!
|
Commentaire de vivi - chryseis (17/04/2006 00:15) :
"ca me defrise" j adooooooore cette expression ^^
|
Commentaire de lecni (17/04/2006 18:55) :
ça dévie là, ça dévie O_o' (moi ce que j'aime bien comme
expression c'est tatane...ouai ok c'est un mot...aaah oui
"j'vais me la boulotter cte tablette"...) niaaa
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
Les origines du Blues
19/03/2006 10:37
Le terme "Blues" est le raccourci de l'expression "blue devils" - littéralement : "les diables bleus" - que l'ont peut traduire par : "idées sombres". Cette expression a été empruntée aux Britanniques qui l'utilisaient déjà au XVIIIe siècle.
Le Blues est une invention des esclaves noirs déportés d'Afrique, sur le Continent Nord-Américain. Les premiers esclaves arrivent sur le sol Américain en 1619 et immédiatement les missionnaires anglo-saxons substituent la réligion chrétienne aux rites et croyances Africaines. Ainsi les Noirs reprendront-ils à leur compte les cantiques et évangiles de la chrétienté blanche, créant les "negro-spirituals". Cette tradition orale s'étend sur les lieux d'exploitation sous forme de chants collectifs ou solitaires. Le langage blues est basé sur un système de question-réponse. Un meneur lancait une phrase à laquelle ses compagnons répondaient. Ce sont les Hollers et Field-hollers. Le système de question-réponse chanté sera transposé en musique. Ainsi les Hollers peuvent être considérés comme la forme primitive de ce que l'on appellerait aujourd'hui un Riff ; riff lancinant et répétitif.
Cette forme de Blues rural se développe principalement dans la basse vallée du fleuve Mississippi; cette région du territoire Américain, à l'instar des Etats du Sud conservera longtemps le système esclavagiste. Ce n'est qu'avec guerre de Sécession (1861-1865) qui marque la victoire des Nordistes qu'est aboli l'esclavage.
La fin de l'esclavage ne fait place qu'à la ségrégation. Le peuple noir continue donc à souffrir. Au début du XXe siècle les Noirs migrent vers les villes (La Nouvelle-Orléans, Dallas, Atlanta, Memphis...), les grandes ville du Nord (New-York, Detroit, et surtout Chicago devenue "capitale du Blues") et enfin vers la côte Ouest (Los Angeles, San Francisco).
Les textes réflètent la vie quotidienne et leurs idées noires. L'écrivain noir Richard Wright décrivait l'univers des esclaves ainsi : "Des scieries, des manufactures cotonnières, des camps de bûcherons, des digues en construction, ou encore un marécage, une prison ; des routes aussi, des coups de cafards, des voyages, des accidents et bien entendu, les formes les plus diverses de la violence". Parmi les autre principaux thèmes, on retrouve les amours déçues, le foyer abandonné, la mort. L'humour, l'amour et l'espoir, Dieu et la danse sont également présents.
Les textes sont posés sur un rythme africain, tendant parfois vers la transe. Le rythme est imprimé sur tout ce qui raisonne. Planche à laver, une bassine renversée sur laquelle était fixée une corde formant une contrebasse, une cruche dans laquelle on souffle... "tout objet produisant du bruit ou par choc était transformé dans leurs mains en instrument de musique".
Plus tard seront intégrés l'harmonica, le piano (qui connait une désaffection après 1950, plus enclin au jazz) mais surtout la guitare dont l'essor correspond exactement au développement du Blues.
Les premières guitares apparaissent à la fin du XIXe siècle. De modèle espagnol, elle coûtent de un à cinq $. Le catalogue "Sears Roebuck" propose de nombreux modèles par correspondance dès 1908. La popularité de la guitare coïncide avec l'expansion du Blues. Cet instrument s'impose de manière prépondérante alors que dans la musique blanche, banjos et violons restent omniprésents. Au début des années 20, les guitaristes noirs de Blues développent et créent des techniques de jeu permettant d'obtenir le plus d'effets possibles ; il s'agit de sortir de leur guitare sèche bon marché tout ce dont elle est capable.
Vers 1945 le jazz, qui s'était déjà développé, apporte aux formations de Blues, la guitare électrique, les cuivres (saxophones, trombones et trompettes). Ainsi est né le Rythme & Blues, plus dynamique que le Blues rural originaire et que le Blues urbain des années 30/40. Du R&B sont ensuite nés la Soul et le Rock and Roll. Les années 50 marquent l'apparition du Chicago Blues (forme électrifiée du Blues rural).
Commentaire de Neutrinos (19/03/2006 21:06) :
Merci pour la leçon d'histoire musicale ;)
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
Mon rat s'appelle Judas
19/03/2006 10:16
Votez pour lui, votez pour moi ! Qu'est ce que ça change ? Me demandez pas Leur faire confiance ? Plutôt crever ! Mon avis les intéresse pas On pourrait gerber, on pourrait crier Ça changerait rien, ils z'écoutent pas on ferait mieux d'éteindre nos télé ou même arrêter de consommer
ref : La seule fois de ma vie ou j'ai voté C'était contre un facho La seule fois de ma vie ou j'ai voté C'était pour un escroc Une fois n'est pas coutume Faudra même plus compter sur moi Ils m'ont rayé des listes, tant mieux pour moi…
ça changera rien, ça changera pas mais ça vaut mieux que de se flinguer ça sera p'être pire, mais dans l'sapin tout le monde dira qu'chui un mec bien c'est toujours comme ça que ça s'passe quand on est mort, on a la classe sauf le suicide il paraît que c'est lâche, c'est le votre que ça vous cache
ref
voter pour dieu, compte pas sur moi Pour la confiance, je préfère un rat D'ailleurs le mien s'appelle judas il est mort hier à cause de toi : Il a trop cru en dieu Ça lui a pas trop réussi Il avait peur de devenir vieux De se retrouver au paradis
| |
|
|
|
|
|
|
|
Zebra
19/03/2006 09:54
I can be loud man, I can be silent I could be young or I could be old. I can be a gentleman, I can be violent. I could turn hot or I can be cold. I could be just like the calm before the storm Waiting for all hell yeah to break loose. I could be innocent or I could be guilty Doesn't mean that I man believe in no noose
I could be rich like a wandering Gypsy I could be poor like a fat wallet lost. I could be first or I could come last Its not who breaks the ribbon It's how you get across. I could be red blue black + white sunset Darkest at day man brightest at night I could be the sun man I could be the moon I'm made up from the stars man I shining so bright.
I could be asleep man, I could be awake I can be alive or be the walking dead I can be ignorant, I could be informed I could lead my life or i could be led I can be anything i put my mind to man, all i gotta do is give myself half a chance I can bring love back into my life and share it with the world if i got some balance
| |
|
|
|
|
|
|
|
Citation (1)
12/03/2006 15:45
Les armes sont les sexes des impuissants. Ils tirent avec ce qu'ils peuvent.
Commentaire de Ashiko Nana (12/03/2006 16:21) :
Selon Freud, le pistolet représente le pénis de l'homme! C'est
tet marrant mais c'est vrai pourtant! :)
|
| |
|
|
|
|